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The Sacrifice Game


Etats-Unis - 2023
Réalisation : Jennifer Wexler
Scénario : Sean Redlitz, Jennifer Wexler
Photo : Alexandre Bussière
Musique : Mario Sévigny
Production : Heather Buckley, Todd Slater, Jennifer Wexler, Yannick Sadler
Interprètes : Mena Massoud, Olivia Scott Welch, Chloë Levine, Gus Kenworthy…
Vente : Red Sea Media Inc.
Ajouter au calendrier Thursday December 07th 2023 02:30 PM Thursday December 07th 2023 16:30:00 Europe/Paris The Sacrifice Game Au début des années 1970, pendant les vacances de Noël, des émules de Charles Manson s’invitent dans un pensionnat de jeunes filles, avec la ferme intention de sacrifier des élèves innocentes à leur démon de prédilection. Tout ne va pas se dérouler aussi facilement. Max Linder Panorama
Ajouter au calendrier Friday December 08th 2023 12:00 PM Friday December 08th 2023 14:00:00 Europe/Paris The Sacrifice Game Au début des années 1970, pendant les vacances de Noël, des émules de Charles Manson s’invitent dans un pensionnat de jeunes filles, avec la ferme intention de sacrifier des élèves innocentes à leur démon de prédilection. Tout ne va pas se dérouler aussi facilement. Max Linder Panorama

Séance interdite aux moins de 16 ans

Durée : 99 min // Ratio : 2.35 // Format : dcp
Langue : Anglais // Sous-titres : Français



Au début des années 1970, pendant les vacances de Noël, des émules de Charles Manson s’invitent dans un pensionnat de jeunes filles, avec la ferme intention de sacrifier des élèves innocentes à leur démon de prédilection. Tout ne va pas se dérouler aussi facilement.
Le premier long-métrage de Jennifer Wexler, The Ranger (2018), offrait déjà aux aficionados de la discipline une lutte à mort entre une figure du Mal, a priori increvable, et des jeunes aux ressources insoupçonnées. Les années séparant ce coup d’essai de The Sacrifice Game n’ont nullement atténué la méchanceté et la cruauté de la réalisatrice/coscénariste. Sa mise en scène a par contre gagné en assurance et en beauté glacée ; son sens du rythme s’est quant à lui dopé aux amphétamines de compétition. La rigueur de la confection laisse le champ libre à des performances jouissives, à un art tout particulier de la sortie de route, sans oublier une brutalité de première bourre. Les films d’horreur des années 1970 tiennent là un bien beau bâtard.